Programme Novembre à Décembre 2009 au Paradis...
 
“Jazz Club :
François Faure Trio”
Musique
François Faure (piano), Philippe Laccarrière (contrebasse) et David Pouradier-Duteil (batterie) - une programmation “Jazzogène”

François Faure : piano
Parcours atypique, d'un "amateur" au sens noble du terme, il est ingénieur informaticien hors pair, et pianiste par passion. Diplomé du conservatoire de Bordeaux, doté d'un solide bagage musical classique, c'est vers le jazz qu'il se tourne très rapidement. Le voici avec un nouveau projet "Emily", une vision très lucide, longuement mûrie et très touchante, subtile alliance de standards et de compositions personnelles, lyriques, heureuses, "gospelisantes". Ce travail est le
témoignage authentique d'un musicien qui a volontairement évité les projecteurs (aveuglants parfois) pour toucher à l'essentiel de son art. La sincérité et la profondeur de sa démarche sont un vrai bonheur.

Philippe Laccarrière : contrebasse
Fort de ses trente ans de carrière de musicien, et de son expérience de directeur artistique de l'association AU SUD DU NORD, il a fait des rencontres passionnantes et multiples.Fondées sur de solides et durables amitiés
musicales, toutes ses aventures artistiques actuelles sont issues de ce parcours.
Il a croisé la route, entre autres, de Bernard Lubat, Christian Escoudé, Marc Ducret, Mimi Lorenzini, Emmanuel Bex, Aldo Romano, Serge Lazarevitch, Didier Malherbe, André Minvielle, Marc Fosset, Lolo Belonzi, Francis Bourrec, Franck Tortiller ...

David Pouradier-Duteil : batterie
Il étudie la batterie à l'école Dante Agostini où il obtient le premier prix supérieur en 1983. Son activité plurielle le conduit aux côtés de Roger Guérin, Sylvain Beuf, Michel Legrand, Sylvain Kassap, l’ONJ de Franck Tortiller.
Complices depuis de nombreuses années, François FAURE (piano) et Philippe LACCARRIERE ont sorti un troisième album en compagnie du batteur Thierry ARPINO au printemps 2009 : “Emily”.


En concert le
Vendredi 20 Novembre à 21h

Tarif : 12 €
réduit : 8 €
(chômeurs, RMIstes, -18ans
 

EN SAVOIR PLUS

création 2009

ça s'épluche ou ça se mange avec la peau ?
Théâtre
Voyage théâtral et musical jeune public
Une création du Théâtre grandeur nature,
mise en scène de Jean-Marie Champion
avec Isabelle Jeanty, comédienne
et Jacques Gandon, musicien

l’histoire : Il était une fois, il était deux fois… C’est l’histoire d’un Oiseau affamé et d’un Enfant sans faim. Jeté l’un contre l’autre par le hasard de la vie et l’irrésistible attraction des contraires, c’est dans leurs différences, à priori implacablement antinomiques, qu’ils se rencontrent… Ils partent à la découverte du monde … Au sud… A l’est… A l’ouest… Au nord… Ils se découvrent aussi bien sûr au terme d’un périple qui les confronte à la brutalité du monde. Croustillante d’humour mais aussi très en appétit du monde, elle est suspendue aux découvertes des deux protagonistes …

ça s’épluche ou ça se mange avec la peau ? a été créé, en mai 2009, dans le cadre du Festival "La Vallée prend son temps" à Saint-Astier.

présentation publique le
Mardi 24 Novembre
à 20h30

une séance à destination des scolaires est également programmée le
mardi 24 novembre à 10h
- tarif scolaire

!!! Attention !!!
la représentation du Samedi 21 novembre est ANNULEE et elle est remplacée par ce mardi 24 novembre

Tarif : 10 €
réduit : 8 €
(chômeurs, RMIstes, -18ans)
 
Les oiseaux de passage
spectacle musical

Chansons poético-réalistes
Compagnie Pierrot Noir
avec Philippe Le Velly alias Pierrot Noir
et Kevin Castagna

« Les oiseaux de passage » est une invitation au voyage dans un univers alternant réalisme et poésie. Sur de vieilles ballades, blues paysan, jazz manouche ou folk beauceron, embarquez avec ces baladins du verbe !
Ils chantent Brassens, Richepin, Villon, Couté et d'autres poètes mais aussi leurs propres textes ... Kevin Castagna et Philippe Le Velly alias Pierrot Noir sont des passeurs de rêves et d'invisible ... Ils portent les mêmes songes, la même capacité d'indignation ... Ils n'ont qu'un seul slogan : "laissons l'argent aux épiciers à nous le rêve et l'idéal"

présentation publique le
samedi 28 Novembre
à 20h30

Tarif : 10 €
réduit : 5 €
(chômeurs, RMIstes, -18ans)
 
 
“les trésors de la cinémathèque de la danse”
projection / conférence

Projection suivie d’une intervention de Xavier Baert, chargé des programmes à la Cinémathèque de la Danse

Ce document, composé de films et d’extraits de films de danse rares, montre la variété des collections de La Cinémathèque de la Danse. Il recouvre différents styles en traversant toute la danse du XXe siècle, classique, jazz, revues noires, Graham, Wigman, Béjart, danses gitanes…

Trésors de la Cinémathèque de la Danse, 1998, 55 minutes.
- Le Cake-Walk au Nouveau Cirque,1902, de Louis Lumière, avec les Elks
- Zoetrope, 1992, d’Annie Leibovitz, avec Mikhail Baryshnikov et Twyla Sharp
- La Matchiche, c.1906, de Alice Guy, avec Félix Mayol
- Danse Nikolska, c.1915, anonyme
L'Après-midi d'un faune , c.1950, avec Serge Lifar
- Ballet mécanique,1924, de Dudley Murphy et Fernand Léger
- Le Lys,1934, chorégraphie de Loie Fuller, interprétée par Miss Baker
- La Mort du cygne, c.1925, avec Anna Pavlova, film sonorisé par Bambi Ballard et Yvette Chauviré
- Harlem is Heaven, 1932, avec Bill Robinson
- Frontier, 1937, chorégraphie et interprétation de Martha Graham
- Le Jeune homme et la mort ,1946, avec Boris Kochno, Nathalie Philippart, Jean Babilée et Roland Petit
- Pastorale, 1929, chorégraphie et interprétation de Mary Wygman
- Danzas gitanas,1941, de Jack Kemp, avec Carmen Amaya
- publicité pour Orangina, c.1987, de Jean-Paul Goude
- Noureev à Spolète ,1964, de Pierre-André Boutang et Philippe Collin, avec Rudolf Noureev et Margot Fonteyn
- Béjart,1961, de François Weyergans, avec Maurice Béjart
- Quarante-six Bis/46 bis, 1988, de Pascal Baes, avec Sara Denizot et Laurence Rondoni
- Madame la Diablesse, 1949, de Henry Barakat, avec Samia Gamal
- La Plantation, 1927, tableau de la revue Vent de Folie, avec Joséphine Baker


Ce programmme est proposé par l’ACDDP, il sera également
présenté au Centre de Ressources – Espace culturel François Mitterrand le Mardi 1er Décembre entre 12h30 et 13h30 dans le cadre des “Entracte de l’Agence Culturelle départementale”.

projection / conférence le
Mardi 1 Décembre à 20h

entrée libre
 
 
"Madame Felletin,
la nuit je filme les papillons"
Théâtre

Texte de Gilles Ruard
Avec Maya Boquet, Clyde Chabot, Kerwin Rolland et Gilles Ruard

C’est le titre original donné par Gilles Ruard à ce texte qu’il a choisi de mettre, à l’origine, sur support Cd afin de le livrer à l’imagination de metteurs en scène désireux d’en proposer une lecture scénique. C’est ainsi que Maya Boquet a découvert ce texte en 2007 et en a assuré la création avec Kerwin Rolland dans le cadre du Festival International de Performances : Il faut brûler pour briller (Les voûtes, Paris 13ème, avril 2007). Puis, une deuxième approche a été proposée en avril 2008, cette fois par Clyde Chabot, Maya Boquet, Kerwin Rolland et Gilles Ruard, dans le cadre du Festival "Off LIMITS/ programmation scénique expérimentale" (Espace Khiasma – Les Lilas). Les quatre artistes se retrouveront à Périgueux pour imaginer une nouvelle version, prolongeant les deux premières. Un travail collectif à partir des pistes de travail proposées par Maya Boquet à l’issue de l’aventure 2008...

En résidence de travail du 7 au 11 Décembre à l’Agence Culturelle Départementale Dordogne Périgord et au Paradis (galerie verbale)

Présentation publique de ce travail :
Jeudi 17 Décembre
à18h30
Cave de l’Espace culturel François Mitterrand

entrée libre
 
 
"Jazz Club :
Duo Kouyaté / Neerman
Musique

Lansine Kouyate (balafon)
et David Neerman (vibraphone)
une programmation “Jazzogène”


Au vibraphone : le Français David Neerman, dont le vaste territoire musical va du jazz à l’electro en passant par les musiques du monde. Au balafon : le Malien Lansiné Kouyaté, enfant de la balle dont les mailloches ont souvent frappé bien au-delà de la tradition dont il est issu.

Sur scène, les notes s’étalent comme des gouttes de pluie sur un sol desséché. Puis c’est l’averse, les marteaux trottent librement sur le fer et le bois, pour un résultat aérien. Il y a enfin des bourrasques, des moments où tout s’emballe, où l’un devient vibrafon et l’autre balaphone. Le duo évoque parfois le post-rock de Tortoise ou le dub latino de Calexico. Idéalement produite par le label No Format, cette musique est effectivement hors-normes. En éveil, aux aguets, virtuose et curieuse. Entre musique malienne, jazz et post-rock, Kouyaté-Neerman est l’un des projets musicaux les plus originaux du moment, à découvrir...

présentations publiques le
Vendredi 11 Décembre 2009
à 21h

Tarif : 12 €
réduit : 8 €
(chômeurs, RMIstes, -18ans
 
 
“l’homme d’aran”
Ciné-Concert

Film de Robert Joseph Flaherty
Durée 80 MN - 1932-1934 - Grande Bretagne - NOIR ET BLANC
Mise en musique par David Chiésa

SYNOPSIS : Sur une île de l’archipel d’Aran, au large de l’Irlande, la vie quotidienne d’une famille de pécheurs. Sur le sol rocailleux, sans cesse balayé par la tempête, on fabrique la terre cultivable : l’homme casse les pierres tandis que la femme amène les algues arrachées aux crevasses. Le fils pêche du haut des falaises. Un jour, le père, parti en mer, poursuit un requin. Il n’en vient à bout qu’après une lutte acharnée. Reparti en mer, il est pris dans une tempête. Son bateau est détruit. Il réussit toutefois à rejoindre l’île et sa famille.

L’Homme d’Aran est un faux documentaire mais un vrai grand film que Robert Flaherty réalisa de 1932 à 1934 sur Inishmore, la plus grande des trois îles qui forment l’archipel d’Aran. au large des côtes ouest de l’Irlande. Faux documentaire, parce que la famille dont il décrit l’existence n’est pas une vraie famille, que ses faits et gestes sont mimés pour la caméra, parce que si la tempête qui secoue la dernière séquence est, bien sûr, réelle, il y avait déjà longtemps que les habitants d’Aran avaient cessé de chasser le requin au harpon.Vrai grand film, parce que le combat de l’homme face à la nature a inspiré à Flaherty des images d’une beauté et d’un lyrisme renversants, et dont le modernisme demeure saisissant plus d’un demi-siècle après.

présentations publiques le
Samedi 9 Janvier 2010
à 20h30

Tarif unique : 6 €
 
 


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