|
|
Programme du Paradis (galerie verbale) de Mars à Avril 2011
|
|
Yonathan Avishaï
et "les temps modernes"
|
> musique |
Vendredi 11 Mars
Yonathan Avishai, piano
Samedi 12 Mars
Didier Ottaviani,
batterie
Yoann Loustalot,
trompette
Yonathan Avishai,
piano
La musique de Yonathan Avishaï s’inspire profondément du jazz, non pas comme style mais comme état d’esprit.
Le pianiste et compositeur Yonathan Avishaï, vous invite à un moment d'expérimentation. Un travail de recherche autour de trois notions fondamentales : la répétition, la réduction et l'espace. C'est en posant un cadre rigide et à travers une épuration extrême des moyens que cette musique prend forme. Pour ce quatrième rendez vous au Paradis, Yonathan invite le batteur Didier Ottaviani et le trompettiste Yoann Loustlot , cette proposition est la poursuite de ses créations en solo vers un travail collectif.
Concerts organisés en partenariat avec l’association Jazzogène.
|
en Concert :
VENDREDI 11 MARS (solo)
et SAMEDI 12 MARS (trio)
à 21h |
Tarif : 10 €
réduit : 8 €
(*demandeurs d'emploi, RMIstes, étudiant, -18ans |
|
|
photo Nicolas LUX |
|
"Pièces Radiophoniques " |
> Lecture
mise en espace |
Textes de
Michel Gendarme
Voix, Ombres, images, vidéos, sons :
Fabien Bassot,
Léa Chanceaulme
et Renaud Marchal
Compagnie Lazzi Zanni
La Compagnie Lazzi Zanni présente une lecture de deux textes de Michel Gendarme écrits à la base pour la radio.
Le premier texte parle de territoires, de racines, de la famille : Le retour d'Alice.
Le deuxième d'identités, d'origines, de différences : Triste guichet.
Au fur et à mesure de la lecture, les artistes improvisent la mise en voix, le travail des matières vidéo et sonore, la lumière qui voyage de la clarté vers l'obscurité en révélant à certains moments les ombres des personnages.
Tout commence une nuit, où Axa et Soho surveillent leur territoire, posent et vérifient leurs pièges. Pour eux, il s’agit de survivre dans cette cité depuis qu’ils ont été trouvés, petits, tous deux dans une poubelle qui puait l’essence.
La Cité, c’est le royaume du Pharmacien, dealer assassin secondé par le Chalumeau, un type qu’il a récupéré en le sortant des caves où il se planquait dès la construction de la Cité. Mais les pièges posés par Axa et Soho entravent leur action. Alors cette nuit, le Pharmacien est bien décidé à se débarrasser d’eux.
Mais un engin inattendu arrive : avec deux grandes roues à l’arrière, deux plus petites à l’avant, et des sortes de griffes accrochées à l’arrière…
Le tracteur est conduit par Alice, jeune agricultrice, revenue travailler la terre de ses parents.
Dans le deuxième texte, Martine est guichetière, depuis vingt ans, dans le service des étrangers d’une Préfecture de la région parisienne. A longueur de journée, elle voit s'écouler la longue file des étrangers qu’elle réceptionne. Parfois, elle se prend de sympathie pour l’un ou l’une d’entre eux. Jusqu’à ce qu’un jour, un drame vienne perturber ses habitudes.
|
présentation publique :
JEUDI 17 MARS
à 20h30 |
Tarif unique: 8 €
|
|
|
"Petites Recettes de l'Amour Fou"
|
> spectacle musical |
Avec
Isabelle GAZONNOIS et Isabelle LOISEAU
Direction d’acteurs : Serge DANGLETERRE
Scénographie et costumes : Kham-Lhane PHU
Couturière : Célia BARDOUX
Régie son et lumière : Guillaume LENSON
Un projet de PIANO PLURIEL
L’une chante, l’autre aussi.
L’une joue du piano, l’autre la comédie.
Isabelle Loiseau est pianiste,
Isabelle Gazonnois actrice,
Avec l’envie de chanter qui les réunit.
L’envie de parcourir, de revisiter et de faire entendre
quelques joyaux de la chanson française féminine, dédiée à
l’Amour mais d’abord du côté de l’Humour.
L’Amour dans tous ses états : état critique ou extatique, état
sauvage ou éthylique…
Du début du vingtième siècle aux années soixante-dix,
d’Yvette GUILBERT à Jeanne MOREAU, de Pauline
CARTON à BARBARA, d’Anne SYLVESTRE à Brigitte
BARDOT, en comptant avec LES FRÈRES JACQUES,
Serge GAINSBOURG et Georges BRASSENS,
une vingtaine de chansons sans tabous passant par les
couleurs du vaudeville, de l’érotisme, du fol-amour, de
l’amour vache ou du féminisme.
Coproduction Centre culturel et ville de SARLAT
Avec le soutien du Festival de l’humour de St Varent (79) |
présentations publiques :
JEUDI 24 MARS
VENDREDI 25 MARS
à 20h30
|
Tarif : 10 €
réduit : 8 €
(*demandeurs d'emploi, RMIstes, étudiant, -18ans |
|
Spectacle
Annulé |
|
|
"Le Diable en partage" Annulé
|
> Théâtre |
Comédiens :
Nathalie MARCOUX,
Lionel MUR,
Fabrice COUDRET,
Alys-Yann SCHMITZ,
Damien THOMAS et
Thierry VERMOTE
Création Sonore :
Frédéric FROST
Création Lumière :
Pascal CANTALOUP
Scénographie :
Cécile CRESSEND
Mise en scène :
Marie POURROY
Par le Théâtre de la Rencontre
L'histoire :
Lorko et Elma s’aiment. Il est Serbe… Elle est Musulmane…
Mais la guerre éclate, et Lorko doit déserter et s’enfuir en Europe, dans un monde qui ne veut pas de lui et qui le rejette.
Dans la petite maison familiale, les liens se
distendent. Jovan et Alex, ses frères
se prennent au jeu de la guerre : ils
se rêvent en héros, en chefs de
milice sanguinaires et sombrent
dans la haine, la violence et la
barbarie. Malgré tout l’amour
de leurs parents, Vid et Sladjana,
Elma devient l’ennemie, une proie
possible, la cible à abattre.
Au coeur du conflit de l’Ex-Yougoslavie, dans l’intimité
d’une famille, quand violence et barbarie se mêlent, peut-on
encore croire que l’amour est plus fort que la guerre ?
Note de mise en scène :
L’impossible représentation de la guerre comme violence organisée.
Le théâtre et la guerre ont beaucoup à se dire.
Tous deux reposent sans cesse la question du face à face tortueux, du combat
sanguinaire mené, dans le temps et dans l’espace, entre spectacle et spectateurs,
pouvoir et opprimés.
Ensemble et séparés, ils recomposent inexorablement les images de l’obscène, les
paroles de l’impossible, l’exagération morbide de la souffrance.
Crescendo, ils érigent, complices, le lit ou l’illusion de la toute puissance se vautre,
aveugle, en rêvant de la conquête du pouvoir absolu sur l’autre.
Et quoi de plus obscure que l’image de guerre ?
Et quoi de plus violent qu’un plateau de théâtre ?
Dans cet irrecevable, il est salvateur d’investir une dramaturgie capable de faire
avaler l’obscénité de la guerre, sa représentation intolérable, son évidente obscénité.
Inventer une dramaturgie de mise à distance créatrice et de délégation.
Rêver cette dramaturgie de l’impossible par la voie sacrée d’une nouvelle esthétique
théâtrale, sans cesse requestionner.
|
En Résidence du 2 au 8 Avril 2011
Sortie de résidence le :
VENDREDI 8 AVRIL 2011 à 20h30
|
Tarif : 10 €
réduit : 8 €
(*demandeurs d'emploi, RMIstes, étudiant, -18ans |
|
|
|
|
|
|