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le soir des représentations !
Ouverture des portes
20 mn avant les présentations
• une lecture à partir du livre de Arlette Farge “La révolte de Madame Montjean”
• un récit/imagé : “Mais pourquoi les poissons ?”. Fidélité à la famille pour taire l’innommable.
Durée maximale : 1H30
>>>>>>> Qu’est-ce qu’un Cabinet de curiosité(s) ?
C’est une proposition publique qui se déroule en 2 parties : une présentation / évocation suivie d’échanges / réflexions partagées :
• la présentation / évocation :
L’initiateur du Cabinet de curiosité(s) fait une présentation évoquant quelque chose qui touche à son intimité (récit / souvenir / lecture / partage d’images, etc..).
C’est la partie (la part) “cabinet”.
• l’échange / débat :
A travers la présentation s’est profilée une dynamique, une thématique, qui ouvre un partage sous forme d’échanges, de réflexions communes
C’est la partie (la part) “curiosité”.
En effet, si l’initiateur du Cabinet de curiosité(s) a décidé de proposer une évocation publique de quelque chose d’intime (c’est la part “cabinet”…), c’est parce qu’il considère que celle-ci pose question, (c’est la part "curiosité"…). Cette “curiosité” ouvre une dynamique, une thématique, qui permet un partage sous forme d’échanges, de réflexions communes …
une proposition de l'association Jazzogenedans le cadre du Jazzclub Jean Dousteyssier : clarinette, clarinette basse Benjamin Dousteyssier : saxophone alto et ténor Matthieu Naulleau : piano Elie Duris : batterie
A l’instar du cinéma de genre post-apocalyptique, Post K propose une lecture du jazz de la Nouvelle-Orléans après le passage de l’ouragan Katrina. Appartenant à la nouvelle génération de musiciens de jazz, aussi brillants qu’éclectiques, Jean Dousteyssier, son frère Benjamin Dousteyssier, Matthieu Naulleau et Elie Duris interprètent le répertoire des années 20-30, notamment celui des pianistes de “stride” (Art Tatum, Fats Waller, Earl Hines…) dont ils tirent des particularités de jeu, qu’ils appliquent avec un regard contemporain dans l’écriture comme dans l’improvisation. Egalement largement influencé par le free jazz des années 60-70 et par la musique improvisée européenne des vingt dernières années, ce nouveau quartet invite à une musique populaire, à la fois riche et savamment déstructurée, à l’image des premiers enregistrements de Jazz. Leur CD éponyme a été sélevtionné par la redaction du journal de référence Jazzmagazine comme disque « CHOC » de 2016.
« Le jazz de Jean Dousteyssier déconstruit le passé et le reconstruit sans cesse, aller-retours entre tradition et glitch du moment, free jazz qui n’aurait pas oublié la leçon des anciens, sorte d’Art Ensemble of Paris Today mêlant Histoire (années 20-30, mais aussi le free des Afro-Américains des années 60-70) et actualité (nouvelles traditions européennes) en une danse euphorique communicative » Jean Jacques Birgé, Mediapart.
Jean et Benjamin Dousteyssier font partie des orchestres phares du jazz français contemporain ; Jean est membre titulaire de l’Orchestre National de Jazz, Benjamin joue, dans le White Desert Orchestra de la pianiste Eve Risser.
Concert proposé dans le cadre de Jazz Migration, dispositif d'accompagnement de jeunes musiciens de jazz porté par AJC, avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, du CNV, du FCM, de l'ADAMI, de la SPEDIDAM et de la SACEM. Partenaire média : France Musique. http://www.jazzmigration.com/
Terrains vagues 7 :
Conférence et Vidéo Vagabondes “l’Écosophie” ou “Comment habiter le monde ?”
Deux usagers « vagabonds » du Paradis, proposeront à partir de leurs déambulations et pérégrinations une sorte de conférence avec la projection d’une vidéo et de quelques images commentées, sur ce qu’il est convenu de nommer “l’Écosophie” ou “Comment habiter le monde ?”.
Cette proposition clôture la saison 2017 des Terrains Vagues du Paradis.
Comme tous les Terrains Vagues, elle est initiée et animée par des usagers du Paradis.
La médiation /modération des échanges est effectuée par l’équipe du Paradis.
Présentation publique
au Paradis (galerie verbale) :
Lundi 22 Mai à 20h30
et
Mardi 23 Mai à 20h30
Tarif plein : 10€ /
Tarif réduit : 8€
La Conférence des Oiseaux
Lecture musicale et théâtrale
Dans le cadre de la 9ème édition du Printemps au Proche-Orient. Festival culturel qui mélange les arts du Proche-Orient pour créer dans l’Agglomération du Grand Périgueux, des espaces de débats et de découvertes artistiques.
Création 2016 du Théâtre grandeur nature
Textes : Farid Uddin Attar
Création sonore et musicale de Fred Roumagne.
Voix d’Isabelle Machado et Jean-Marie Champion.
Lecture musicale et théâtrale en octophonie à partir d'extraits de La conférence des oiseaux du poète Perse Farid Uddin Attar.
La conférence des oiseaux est un des plus célèbres contes soufis, dont le Persan Farid Uddin Attar fit l'un des plus beaux récits poétiques de tous les temps. Il raconte comment les oiseaux se mirent en quête d'un oiseau mythique, le Simorgh, afin de le prendre comme roi.
Le texte enregistré, lu par Isabelle Machado et Jean-Marie Champion, est mis en espace grâce à un dispositif de 8 haut-parleurs. Une création sonore jouée en directe par Fred Roumagne accompagne cette épopée mystique et existentielle des oiseaux dans leur quête.
Rien n'est ici donné à voir. C'est un voyage immobile, mais périlleux, à l'intérieur de soi-même.
« Nous ne voyageons pas pour voir, mais pour ne pas voir.»
Saint Jean de la Croix
une proposition de l'association Jazzogenedans le cadre du Jazzclub Soirée exceptionnelle pour ce concert de clôture de saison avec un double plateau construit autour du violoniste star Théo Ceccaldi, membre de l’ONJ, l’Orchestre National de Jazz, élu meilleur musicien de jazz 2016 par le journal Jazzmagazine.
Trio "Velvet Revolution" Daniel ERDMANN : saxophoniste
Théo CECCALDI : violon, alto
Jim HART : vibraphoniste
En première partie le trio « Velvet Revolution » du saxophoniste Daniel Erdmann avec Théo Ceccaldi et le vibraphoniste anglais Jim Hart, un groupe tout dévoué à l’inspiration du saxophoniste ténor et compositeur, mais qui laisse de la place à tous les musiciens. C’est une musique de la liberté expressive, de la proximité de la parole, du récit, de la rhapsodie. Les pièces de Daniel Erdmann sont compactes, parfois complexes, mais toujours revendiquant la mélodie.
Theo Ceccaldi apporte la grande tradition française des cordes, son rapport au jazz et quelque chose de très contemporain. Il peut s’abandonner dans l´interprétation mélodique mais aussi endosser un rôle percussif. Avec ses sons brillants, le vibraphone amplifie le côté « musique de chambre » du trio. Jim Hart, qui est aussi batteur, apporte précisément ses compétences rythmiques qui permettent de se passer d’un batteur. Il y a du poétique et du littéraire, du pictural et de l´abstrait dans la musique de « Velvet Underground », mais il n’est pas nécessaire de connaître le sens des titres de chaque morceau, parce que la musique parle d’elle-même.
L’album sorti récemment sur le label hongrois BMC a reçu un accueil enthousiaste dans la presse spécialisé, ainsi que sur France Musique. Il a été nommé meilleur album jazz par le prestigueux Prix des Critiques de Disque Allemands (Preis der Deutschen Schallplattenkritik).
Trio « In Love With » Théo CECCALDI : violon, alto
Valentin CECCALDI : violoncelle
Sylvain DARRIFOURCQ : batterie, compositions
En deuxième
de soirée, feu d’artifice et bouquet final par le spectaculairetrio « In Love With » du batteur Sylvain Darrifourcq avec de nouveau Théo Ceccaldi, cette fois-ci avec son frère, le violoncelliste Valentin Ceccaldi.
Batteur historique du Emile Parisien Quartet et sideman recherché, Sylvain Darrifourcq se présente ici en chef d’orchestre et compositeur et propose un répertoire vif, acéré, écrit sur mesure pour les archets tendres mais non moins redoutables de Théo et Valentin Ceccaldi.
« In Love With » ou les courbes du désir emprisonnées quelque part, dans un espace à la géométrie irréductiblement rectiligne. C’est épileptique, fugace, saccadé, brutal. C’est la violence de la ligne droite. Mais ça peut tout aussi bien être amorphe, immobile et sentimental. « Le batteur ne fait pas mystère de l’influence de John Zorn sur sa musique. A l’instar de l’éclectique New-Yorkais, Darrifourcq recourt dans ses partitions à des éléments hétéroclites puisés à diverses sources esthétiques. Structures vertigineuses, changements de direction tranchés, exécution engagée des participants, tout concourt à la réussite du projet et au plaisir des auditeurs. » David Cristol (Jazzman)
Présentation publique - étape de travail
au Paradis (galerie verbale) :
Jeudi 1 Juin à 20h30
Tarif unique : 5 €
CRCR & GANGUE
improvisation spectacle
Crcr & The Gangue
Les 2 formations sont reunies ici autour de l’envie de Madame Cr de croiser la richesse de ces deux univers.
Dans cette aventure, Crcr & The Gangue souhaitent:
- questionner la composition d'une pièce à trois avec de nouveaux outils
- tenter l’équilibre entre écriture et composition dans l’instant, de paysages mélodiques, de corps et de textes.
- explorer l’articulation des univers nourris par chaque interprète, l’émergence des formes dansées, parlées et chantées, le dessin d’un paysage intérieur-extérieur dans le cadre scénique du paradis.
- confronter le découpage temporel et la contrainte technique de la chanson à la liberté spatiale et temporelle de l’improvisation.
- inclure l'interprétation de compositions écrites, comme référence, paysage, décor à un univers en mouvement, changeant surprenant!
Gangue est un trio singulier autour de l’improvisation du corps et de la voix. Carine Desset est danseuse et musicienne.
Aurélie Gatet est performeuse et plasticienne
Chrystel Moreau est danseuse et chanteuse. Elle est aussi membre du duo Crcr.
Gangue est un trio interdisciplinaire qui mène un travail de recherche autour du corps, de la voix et du texte depuis 2012.
Trois créatures déambulent, font leurs chemins. Elles se croisent, ponctuent l’espace, s’interpellent, se scrutent, s’ignorent.
Un peu d’esprit Dada, un soupçon de référence à Tati, des objets quelquefois, pour un moment réjouissant et drôle où les talents s’épaulent, les individualités se révèlent et orchestrent une savante organicité de l’espace.
Crcr est un duo musical en équilibre entre écriture et composition dans l’instant… Christophe Carrère joue des mains, de la clarinette et du piano.
Chrystel Moreau donne des mots, sa voix et des notes de guitare.
Venus de l’improvisation, Monsieur et madame CR s’inventent chansonniers entre crissement et mélodie.
Texte :
Stéphane Guérin
Mise en scène :
Gilles Ruard
Régie lumières et son : Christophe Duval
Les comédiens :
Ludovic Aupetit,
Alexandra Bazin,
Gérard Cazabeau,
Marie-Christine Dugoulet,
Virginie Garibaldi, Sandrine Géraud,
Anne Karasseff,
Alain Plaud,
Alain Serres
Karim, adolescent né aux Comores, a-t-il sauvagement assassiné ses grands-parents d'adoption ?
L'auxiliaire de vie et un voisin l'ont vu s'enfuir du petit pavillon puis revenir les vêtements en sang.
Au terme de trois jours de procès, huit jurés se réunissent à huis clos toute une très longue nuit pour délibérer. Huit inconnus, huit représentants du peuple - ce pourrait être vous - en proie au doute, à la colère, à la frustration, qui doivent sceller ensemble le sort de Karim.
Pour juger, ils ne disposent que des apparences et des stigmates de leur histoire personnelle avec la part d'irrationnel que cela peut comporter.
La vie de l'adolescent est entre leurs mains : perpétuité ou acquittement ?
Une pièce forte, troublante. Des hommes et des femmes qui se regardent, comme dans un miroir…
Qu'en est-il de nous aujourd'hui ? Quel est notre rapport aux autres ? De quoi avons-nous peur ? Qu'est-ce qui est pire ? Se taire ou dire ? Et est-ce que l'on peut tout entendre ?
Et à travers le chas de la serrure vous verrez peut-être le visage en creux de la France d'aujourd'hui…
Nawab Khan le leader et créateur du groupe The Mantraest un interprète de musique classique indienne hindoustanie, un joueur de Santoor, un compositeur et expérimentateur et musicothérapeute.
Il est la 8eme génération de musiciens dans les cours royales des Maharadjas du Rajasthan, il vit à Jodhpur, il a choisi le Santoor, cette cithare plate à cent cordes frappées aux sons cristallins, pour poursuivre la fervente tradition familiale.
Il nous propose à travers les Ragas classiques des créations plus personnelles et contemporaines, jusqu’à des compositions méditatives à travers la musicothérapie.
Nawab est accompagné cette année par son frère Shahid au Tabla, d’Ayan Khan le fils de Shahid, à seulement14 ans il est un exceptionnel joueur de Sarangi, tous les trois ont été initiés très jeunes par leur oncle Ustad Patti Khan dans le respect de la tradition Gharana. Au chant nous retrouvons Sikander Khan, né lui aussi près de Jodhpur dans le village Langa Barnawa, sa voix puissante et fervente, nous invite au voyage musical coloré.
Ces musiciens se produisent dans le monde entier depuis 10 ans, leur venue en France et en Europe sous cette formation The Mantra depuis 4 ans. Ils chérissent le trésor inestimable que leur ont transmis leurs ancêtres, ils deviennent la nouvelle génération qui transmet ce patrimoine ancestral.
Le Santoor et le Sarangi sont des instruments sacrés, ils sont rarement joués en Europe, la philosophie du groupe est avant tout de nous faire vivre un exceptionnel voyage musical, un message pur de paix et d’humanité.
Ragas traditionnels, méditation, chant Soufi, sont réunis pour vibrer dans l’union des textes sacrés chantés issu de toutes les confessions.
Nawab souligne que le Soufisme n’est pas une religion, mais une voie mystique, dont la musique est une des activations de connexion au grand tout, le son et la musique au cœur de l’expérience.
JAZZINDIA est la rencontre inédite de deux très jeunes virtuoses, le guitariste français Tom Ibarra et Ayan Khan joueur indien de sarangi, sorte de violoncelle traditionnel.
Tom Ibarra, guitariste et compositeur de jazz tout juste âgé de 16 ans a rencontré son « alter ego », Ayan Khan âgé de 14 ans, un jeune joueur indien de sarangi lors d’un voyage à Jodhpur au Rajasthan dans le nord de l’Inde en octobre 2015. De cette rencontre est né JAZZINDIA, intégralement composé par Tom et supporté par les Chantiers des Détours de Babel.
A son tour Ayan est venu en France accompagné de son père Shahid Khan qui lui enseigne le sarangi. Le père et le fils sont la 8ème et 9ème génération de sarangiste attaché à la cour du Maharadja de Jodhpur. Le sarangi, instrument difficile, n’est joué que par 200 musiciens indiens. Tom est le plus jeune guitariste endorsé par Ibanez et par Roland et a été de nombreuses fois primé par la SACEM.
JAZZINDIA est la fusion entre le jazz et la musique classique Hindoustanie.
au Paradis (galerie verbale) le Vendredi 23
et samedi 24 juin
à 20h30
Tarif plein : 8 €
Tarif réduit : 4 €
(demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans
DOM JUAN
Théâtre
spectacle
amateur
Création 2017 de la troupe
de l’Atelier de Formation au Théâtre Amateur
Texte de Molière
Mise en scène de Philippe Le Velly (Cie Pierrot Noir) Avec
Pascale CHAMPSAT, Emilie DAUBISSE, Nicolas DEVIER, Cathy DISSANE, Jessica DUMAS, Catherine DURIEUBLANC, Marianne EGGENSPIELER, Emmanuelle FONTANGES, Laurent GAVEN, Jacqueline LAPORTE, Julien LE PENRU, Adeline MARTIN, Jocelyne MASSERON, Marc PERRONNO, Alexandre ROCHER
Dom Juan (ou le Festin de pierre) de Molière est une pièce qui donne à suivre les trente-six dernières heures de la vie d’un jeune « esprit fort » de son temps (1665) grand amateur de femmes, libertin assumé, flanqué de Sganarelle, valet couard, glouton et friand de disputes intellectuelles. Provocateur impénitent, Dom Juan n’échappera pas à la vengeance du ciel, qui le châtiera par le bras d’une statue de pierre.
Nous avons, après trois années de comédies pures, décidé de travailler une pièce de répertoire classique où se mêlent tous les registres, du farcesque au tragique. Dom Juan s’est imposé à nous immédiatement, la proposition de mise en scène fut multiple :
Faire qu’un maximum d’acteurs (15) joue dans (presque) chaque scène
Jouer en priorité les scènes de « défi au ciel »
Jouer avant tout les scènes de comédie et de tragédie avec violence
Faire l’impasse sur beaucoup de texte, ne garder que l’essence de cette tragicomédie
Faire jouer Dom Juan par des femmes
Dom Juan est-il seulement un coureur de jupons avide de plaisirs éphémères ? Un grand seigneur méchant homme, un révolté sans foi ni loi ? Un précurseur de l’individualisme moderne ? Un libertaire tumultueux ?
Autant de questions que la pièce de Molière ne cesse de soulever, les tentatives de réponses sont multiples, la fascination reste aujourd’hui intacte.
L’AFTA est une association loi 1901 qui gère un atelier de formation au théâtre amateur. Cet atelier est animé par Philippe Le Velly, metteur en scène professionnel et regroupe des comédiens amateurs tous niveaux. Chaque année l’AFTA présente un spectacle.
au Paradis (galerie verbale) le Mercredi 28
et Jeudi 29 juin
à 20h30
Tarif plein : 8 € /
Tarif réduit* : 5 €
(*demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans
Les Déchainés...!
Théâtre
spectacle
amateur
Création de l’atelier des Cies
Siphon’Art et V.I.R.U.S.
Comédie contemporaine autour de l’univers de la télévision
Mise en scène :
Juliette Lasserre-Mistaudy &
Renaud Marchal
Avec
Eric Hoffert, Laëtitia Jugie, Chantal Boize, Isabelle Ledoux, Michel Goupil, Marie Cherbero, Christine Garcin, Gisèle Duval, Amel Chihi, Delphine Luriaud, Axel Claramunt, Claire Lasserre & Camille Gachen
Une galerie de personnages nous fait découvrir, dans une succession de saynètes, le vaste monde de la télévision.
Tantôt spectateurs, tantôt présentateurs ou acteurs de séries… et si on passait trop de temps devant notre écran, pâle reflet d’un monde devenu parfaitement plat ?