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Toute l'équipe du Théâtre grandeur nature
vous souhaite une excellente année
***2010 *** |
Programme Janvier à Mars 2010 au Paradis...
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“L’homme d’Aran” |
Ciné-Concert |
Film de Robert Joseph Flaherty
Durée 80 MN - 1932-1934 - GB - NOIR ET BLANC
Mise en musique par David Chiésa
SYNOPSIS : Sur une île de l’archipel d’Aran, au large de l’Irlande, la vie quotidienne d’une famille de pécheurs. Sur le sol rocailleux, sans cesse balayé par la tempête, on fabrique la terre cultivable : l’homme casse les pierres tandis que la femme amène les algues arrachées aux crevasses. Le fils pêche du haut des falaises. Un jour, le père, parti en mer, poursuit un requin. Il n’en vient à bout qu’après une lutte acharnée. Reparti en mer, il est pris dans une tempête. Son bateau est détruit. Il réussit toutefois à rejoindre l’île et sa famille.
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présentation publique le
Samedi 9 Janvier 2010
à 20h30 |
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"Pas e Camis
(passages et chemins)"
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musique
chansons |
Cansos dels trobadors par La Ròsa Salvatja
Véronique Condesse, harpe
et Maurice Moncozet, chant, rebec, saz, flûte
Peu importe le temps, l’œuvre des troubadours, véritable trésor de poésie et de musique, reste une inépuisable source de création pour des artistes d’aujourd’hui.
Au programme quelques « cansos », parmi les plus belles, de Bernart de Ventadorn, Jaufre Rudel, Raimon de Miraval, Guiraud Riquier…Des chansons où il est question d’amour, mais aussi de puissance du chant qui embrasse le monde… « la dolor que ab joy sana*» la douleur que guérit la joie… Un duo pour un jeu instrumental épuré, précis.
La harpe ouvre pour la voix un espace où «assatz i a pas e camis**» il y a (assez) beaucoup de passages et de chemins… pour aller vers des contrées intérieures, d’ici et d’ailleurs.
* Jaufre Rudel : quand lo riu de la fontana …
**Jaufre Rudel : lanquan li jorn son lonc en mai …
Un concert produit par l’Association SYRINX http://associationsyrinx.free.fr |
présentations publiques les
Jeudi 21 Janvier
et vendredi 22 Janvier 2010
à 20h30 |
Tarif : 10 €
réduit : 8 €
(chômeurs, RMIstes, -18ans)
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"Yonathan Avishaï,
Piano Solo" |
musique |
La musique de Yonathan Avishaï s’inspire profondément du jazz, non pas comme style mais comme état d’esprit.
La dimension unique, singulière, éphémère de la musique y est un élément fondamental. Un minimalisme qui n'est pas un but en soit, mais une façon d'observer le mouvement.
Le pianiste et compositeur Yonathan Avishaï, vous invite à un moment d'expérimentation. Un travail de recherche autour de trois notions fondamentales : la répétition, la réduction et l'espace. C'est en posant un cadre rigide et à travers une épuration extrême des moyens que cette musique prend forme.
En solo ou avec d'autres musicien, Yonathan poursuit sa quête de l'essentiel, de la poésie. |
En concert le
samedi 28 Novembre
à 20h30 |
Tarif : 10 €
réduit : 5 €
(chômeurs, RMIstes, -18ans) |
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"Jazz Club : Kenza Trio" |
Jazz oriental |
Franck La Rocca , Rachid Sefrioui
et Fabrice Dupé invitent
Julien Buri (Trompette, Bugle)
Musiciens passionnés par les rencontres humaines et artistiques, Franck La Rocca, Rachid Sefrioui et Fabrice Dupé ont chacun tissé un lien particulier avec le Maghreb. C’est donc tout naturellement que les rythmes et les sonorités propres à cette région, ont inspiré le trio.
Le Oud, la Derbouka et la guitare basse voyagent sur les compositions originales de Fabrice Dupé. Le jazz et la musique improvisée s’enrichissent ainsi d’accents orientaux. toutes ces rencontres tissent une longue et riche histoire en constante évolution.
une programmation de l'association Jazzogène
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En concert le
Vendredi 5 Février
à 21h
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Tarif : 12 €
réduit : 8 €
(chômeurs, RMIstes, -18an |
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"Le Free du Fifre
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musique |
Par la Compagnie au Pas du Boeuf
Sylvain Roux : fifres (alto et basse),voix
Quand, dans les années 1920, Henri Grelounaud, fifraïre du Périgord, casse malencontreusement son vieux fifre en bois, il n’hésite pas une seconde et s’en fabrique un nouveau, en métal, dans le tube d’un cadre de vélo : il improvise sa tradition.
Quand, dans les années 2000, Sylvain Roux, fifraïre du Périgord, suite à des recherches et des rencontres, invente le fifre basse : il improvise sa tradition.
Créations de l’esprit, détournements culturels, digestions et recompositions en tout genre, ce récital fifristique, sur fonds d’anecdotes ethnomusicologiques, poétiques ou personnelles, illustre parfaitement l’idée que la tradition est une chaîne sans fin à laquelle chacun doit pouvoir rajouter un maillon.
Depuis près de 30 ans, Sylvain Roux souffle et s’essouffle dans ce tuyau de buis, d’ébène, de poirier, de PVC, de bambou… pour créer une musique traditionnelle contemporaine, conglomérat explosé de son héritage culturel dans lequel son occitanité se révèle discrètement.
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En concert le
Samedi 27 Février
à 20h30
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Tarif : 10 €
réduit : 8 €
(chômeurs, RMIstes, -18an |
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résidence de travail du
8 au 13 Mars 2009
!!!
Reportée en octobre 2010 |
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"Résidence Pluriel" |
Aventure singulière |
Charles Pennequin : poésie
Michel Mathieu : actions
Bastien Dessolas : dispositif lumière
David Chiesa : contrebasse, sons
Lorsque Gilles Ruard me proposait un temps de résidence, je décidais de réunir ces 4 artistes autour de la nécessité qu'ils ont de rompre avec tout académisme, qu'il soit résolument contemporain ou qu'il rentre dans l'esthétique froide d'un art maquillé tenant à distance un public passif. De la chair, du verbe, du chaos, voilà ce qui s'adresse à tous, voilà ce que tout le monde peut, mais ne veut pas forcément comprendre. C'est pourquoi je me permets d'emprunter à Antonin Artaud ces quelques mots extraits du « Théâtre et son double »
David Chiesa, décembre 2009
« On doit en finir avec cette idée des chefs-d’œuvre réservés à une soi-disant élite et que la foule ne comprend pas ; et se dire qu’il n’y a pas dans l’esprit, de quartier réservé comme il y en a pour les rapprochements sexuels clandestins.
Les chefs-d’œuvre du passé sont bons pour le passé : ils ne sont pas bons pour nous. Nous avons le droit de dire ce qui a été dit, et même ce qui n’a pas été dit d’une façon qui nous appartienne, qui soit immédiate, directe, réponde aux façons de sentir actuelles, et que tout le monde comprendra. » |
Cette résidence est reportée
en Octobre 2010
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"L'aide Mémoire" |
Théâtre |
Création 2010 du Théâtre grandeur nature
Texte de Jean Claude Carrière
Interprètes : Isabelle Gazonnois et Gilles Ruard
Mise en scène : Jean-Marie Champion
« Voici un homme au milieu de sa vie, un homme ponctuel, très méthodique, qui aime l’ordre en toutes choses et même dans les sentiments. Une femme est entrée dans son appartement sans vraisemblablement, y avoir été invité. Une femme apparemment étourdie , incohérente. Que veut-elle ? on n’en sait rien . De ce conflit entre l’ordre et le chaos, conflit fondamental, comme on le sait, va naître une histoire d’amour comme on peut s’y attendre.
On va voir en trois jours et deux nuits ce qui hors du théâtre, demanderait trois mois, trois ans ou qui peut-être n’arriverait jamais. »
Quatrième de couverture de l’édition Acte-Sud Papier.
Deux personnages, neuf tableaux, et un aide-mémoire pour une croisière mythique livrée à domicile. Dans l’espace intime de notre Paradis (galerie verbale), la scénographie vise l’épure pour suggérer « l’appartement moderne constitué d’une seule pièce ». Dans ce dispositif, le « lézard empaillé, de trente centimètres de long , indispensable et en évidence », éclaire comme un sourire, l’ensemble un peu froid.
Pour les deux acteurs, il s’agira de jouer à cent pour cent la comédie qui accompagne l’incongruité de la situation (Suzanne « pose ses valises » contre le désir de Jean-Jacques puis s’incruste avant de faire machine arrière), et l’opposition des deux caractères puis la dérive « tragique » qui se produit peu à peu. Le texte est frais et drôle à l’oreille. Dans l’intimité du théâtre, les voix donneront la nuance, la fraîcheur, la délicatesse, l’élégance. Et le rythme des scènes est enlevé. Ce ton enjoué accompagnera la situation insolite de ce jeu de société. L’enjeu de cette tonalité initiale est de glisser très progressivement vers l’étrange (Il y a comme qui dirait un lézard…).
La nuit bleuit doucement la scène… Sommes–nous encore dans « l’appartement moderne constitué d’une seule pièce » ? … Sommes-nous devant l’image virtuelle du logiciel « de veille prolongée » d’un écran d’ordinateur ? Sommes-nous dans le huis clos infernal d’une nuit sans fin ?
On n’est plus sûrs de rien !!!
Jean-Marie Champion - Notes pour la mise en scène (extraits)
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Création 2010 |
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