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l'Edition 2009 des Didascalies en images
Vidéos des groupes réalisées par Etienne Rallion et viséo "rush" réalisée par les festivaliers
Accéder aux vidéos
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Le Programme 2009 |
Mardi 20 Janvier
Matin :
Accueil des festivaliers à l’Agora de Boulazac*
Présentation des travaux d’atelier théâtre et danse - Agora*
Après-midi :
Présentation des travaux d’atelier - Agora*
Corps de mémoire - perf. chorégraphique - lieu à déterminer
Lire et dire - Théâtre - lieu à déterminer
Carte blanche aux Artistes du Burkina-Faso- Théâtre - Le Palace
Soirée :
Présentation des travaux d’atelier - Agora *
Mercredi 21 Janvier
Matin et Après-midi :
Présentation des travaux d’atelier - Agora*
Corps de mémoire - perf. chorégraphique - lieu à déterminer
Lire et dire - Théâtre - lieu à déterminer
Carte blanche aux Artistes du Burkina-Faso- Théâtre - Le Palace
Soirée :
Si je T’M - spectacle de danse Hip hop - Le Théâtre**
* ouvert au tout public
** ouvert au tout public mais payant
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Jeudi 22 Janvier
Matin :
Présentation des travaux d’atelier - Agora*
Corps de mémoire - perf. chorégraphique - lieu à déterminer
Lire et dire - Théâtre - lieu à déterminer
Carte blanche aux Artistes du Burkina-Faso- Théâtre - Le Palace
Après-midi :
Présentation des travaux d’atelier - Agora*
Molière au Carré - théâtre - Agora
Mad about the boy - théâtre musical - Le Palace
Soirée :
Concert avec Gong Gong et Grs Club - Le Sans Réserve**
Vendredi 23 Janvier
Matin et Après-midi :
Présentation des travaux d’atelier - Agora*
Molière au Carré - théâtre - Agora
Mad about the boy - théâtre musical - Le Palace
Final*
* ouvert au tout public
** ouvert au tout public mais payant
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ci-dessous le détail des évènements |
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Tous en scène |
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Mardi 20, Mercredi 21, Jeudi 22 et Vendredi 23 Janvier 2009, chaque groupe dispose de 20 minutes pour présenter un état de son projet de l’année ou simplement un exercice collectif sur la scène de l’Agora de Boulazac. Selon l’usage, aucun thème n’est imposé. Théâtre... Danse... Cirque… Certains ateliers s’emparent du répertoire, d’autres se lancent dans des aventures singulières avec ou sans les mots… |
Les lieux du Festival |
Centre Culturel Agora- Boulazac- 05 53 35 59 65
Le Palace- rue Bodin- Périgueux- 05 53 05 94 60
Le Sans-Réserve- 192, rte d’Angoulême- Périgueux- 05 53 06 12 73
Espace François Mitterrand- 2, place Hoche- Périgueux- 05 53 06 40 00
Le Théâtre- l’Odysée- Esplanade du Théâtre- Périgueux- 05 53 53 18 71
Le Paradis (galerie verbale)- 8 place Faidherbe- Périgueux- 05 53 35 20 93
La Filature - 15, chemin des Feutres du Toulon- Périgueux- 05 53 35 10 65
Centre de congrès - cours Saint Georges - Périgueux |
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Les participants |
Lycée Paul Rey / Nay Bourdettes (64) - Théâtre
Professeurs : Nathalie Geneste, Nathalie Pillon
Lycée George Sand / Nérac (47) - Théâtre
Professeur : Sylvie Zudaire
Lycée Antoine Lomet / Agen (47) - Théâtre
Professeur : Christelle Dupouy Canin
EREA Marie-Claude Leriche/ Villeneuve sur lot (47) – Théâtre
Professeurs : Maëva Ferin, Carole Sanner
Lycée Philadelphe de Gerde / Pessac (33) - Danse
Professeurs : Liliane De Girardi, Olivié Randé, Maria Sabatier
Lycée Odilon Redon / Pauillac (33) - Danse
Professeurs : Catherine Brunet, Hugues Renoult, Mauve Renoult
Lycée Girault de Borneil / Excideuil (24) - Théâtre
Professeur : Marie Jourdain
Lycée Saint-Exupéry / Terrasson (24) - Théâtre
Professeurs : Jean-Pierre Brignon, Caroline Pommier, Nicolas Batteau
Lycée Jean Capelle / Bergerac (24) - Danse
Professeurs : Nathalie Bernard, Sylvie Trivier
Lycée Arnaut Daniel / Ribérac (24) - Théâtre
Professeur : Sandrine Salles, Sylvie Simmonet
Lycée Laure Gatet / Périgueux (24) - Théâtre
Professeur : Marie Laclau
Lycée Saint-Joseph / Périgueux (24) - Théâtre
Professeur : Annie Audrain
Lycée Jay de Beaufort / Périgueux (24) - Théâtre
Professeur : Isabelle Rossignol
Lycée Bertran de Born / Périgueux (24) - Théâtre
Professeurs : Jean-Christophe Labrousse, Odile Rebel
Lycée Léonard de Vinci / Périgueux (24) - Théâtre
Professeurs : Karine Rivalland, Fabienne Prono Guinet, Patrick Roldez
Ecole Nationale de Cirque - Lycée M. Berthelot / Châtellerault (86) – Cirque
Professeurs : Dominique Toulemonde
Lycée Laetitia Bonaparte / Ajaccio (20) – Théâtre
Professeur : Marie-Line Cau, Frédéric Dacquay
Lycée / Samara (Russie) - Théâtre
Professeur : Tatiana Bykova
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Conversation avec la scène |
Comme en 2008, après chaque présentation d’atelier, nous prendrons le temps d’une "Conversation avec la scène". Il s’agit d’une parole partagée entre les lycéens, les enseignants et les artistes partenaires sur le processus de travail. Cet instant capital vise à un état des lieux du processus artistique c'est-à-dire dramaturgique et scénique du travail. Pour le groupe sur scène qui vient de présenter son travail, c’est un outil d’appropriation, de réflexion, de distanciation. Il permet, pour chaque spectateur, l’approche sensible, intelligente et bienveillante de la proposition scénique au regard de l’état du projet et pas seulement à l’aulne du spectaculaire."La Conversation avec la scène" est un temps d’élucidation et explication indispensable et non d’évaluation, puisque les présentations scéniques des ateliers peuvent être, à cette époque de l’année et au vu de la diversité des travaux, une véritable étape de la recherche du groupe et pas forcément et systématiquement, l’aboutissement d’un spectacle même court. Cette prise de parole dure 15 minutes maximum et est animée par deux modérateurs. |
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L'atelier de paroles |
Situé en fin du Festival et complétant "la Conversation avec la scène", l’Atelier de paroles permet aux lycéens de se retrouver entre eux par petits groupes pour parler du projet de leur groupe et de leur pratique d’atelier.
Depuis l’origine, les Didascalies accordent une place importante à la parole des lycéens. Véritables laboratoires d’explorations des sensations, des émotions, de la créativité, de la réflexion, les pratiques artistiques sont aussi l’occasion d’une parole partagée. Et si l’enjeu essentiel du théâtre, de la danse, du cirque… à «l’école» était la possibilité d’accéder à «une parole sur…» ? Construire une parole comme un objet artisanal, volontairement imprégnée d’une maladresse qui singularise. Une parole qui redonnerait sa place au sujet, qui dirait l’expérience vécue au plus près, dans son unicité. S’approprier son expérience par la parole…. Aider l’autre dans ce travail personnel d’appropriation par l’échange parlé… Parler le théâtre, la danse, le cirque… au-delà des codes culturels appris ou intériorisés depuis toujours, voilà peut-être ce que permet l’expérience d’acteur, de danseur, de circassien… vécue et acquise dans les pratiques lycéennes.
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Les Didascalies "On Air" |
Tous les murmures, gazouillis, gargouillis, potins, ovations, polémiques et autres tintamarres du Peuple Didascalien, seront recueillis et partagés au monde entier en modulation de fréquences. Un direct sera programmé chaque midi sur Radio 103 (102.3 MHz), radio associative départementale, et sera rediffusé pour les festivaliers, sur scène, dans la soirée. Pour cette aventure, un groupe de jeunes étudiants sera accompagné des rédac’chefs Hervé Lajoinie et Joêl Roux. Les émissions seront consultables sur le site Internet de Radio 103, radio Férarock.
Avec le concours de Radio 103 et du CDDP
www.radioperigueux103.org
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Les ateliers découvertes |
Depuis plusieurs années, les Didascalies offrent une carte blanche aux comédiens qui accompagnent l’ensemble du Festival. Pendant trois heures et avec un groupe réduit de lycéens, ils travailleront sur une thématique et une pratique artistique de leur choix. Les artistes accompagnateurs de cette prochaine édition seront :
Catherine Barbou (actrice), Fabien Bassot (acteur),
Barbara Boschi (actrice), Emilie Esquerré (actrice),
Marie Grandou (danseuse), Sidi Graoui (danseur),
Isabelle Machado (actrice), Renaud Marchal (acteur) et Gilles Ruard (comédien).
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Carte blanche à Athanase Kabre, directeur de la compagnie du fil et à Jacqueline Kini Tienhan, comédienne, originaires du Burkina-Faso |
La Compagnie du Fil est une troupe de marionnettistes crée en 1998 par l'association Actions Jeunes Education (AJE) dont elle partage les objectifs d'action sociale : sensibiliser les jeunes aux problèmes du développement, contribuer à leur éducation civique et morale en créant un cadre d'expression culturelle socialisant.
Athanase Kabre et Jacqueline Kini Tienhan présenteront des lectures mises dans l’espace, autour de contes africains. Ils feront vivre ceux-ci avec la parole, mais aussi, avec le corps dans des manipulations d’objets. Des éléments cinématographiques viendront ajouter, aux sens des Didascaliens, une touche visuelle originale. Par ailleurs, ce sera l’occasion pour les artistes, de parler de la place des femmes artistes au Burkina Faso, et de la marionnette en Afrique. L’imagination, au comble de ces 45 minutes de voyages.
Cette rencontre a trouvé sa source dans le cadre d’un partenariat des Didascalies avec l’Association Périgourdine Pour Le Developpement De Zam (Burkina- Faso) qui travaille de façon originale à un projet de coopération économique, éducative et culturelle en impliquant des lycéens et des étudiants. Lors d’un voyage au Burkina Faso, Gilles Ruard et Joël Roux ont, pour les Didascalies, esquissé des passerelles avec des artistes et avec des enseignants locaux. La présence d’Athanase Kabre et Jacqueline Kini Tienhan aux Didascalies est une première étape.
Mardi 20, Mercredi 21 et Jeudi 22 janvier 2009- dans la journée- au Palace
Partenariat : Association Perigourdine Pour Le Developpement De Zam (Burkina- Faso).
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CORPS DE MÉMOIRE
Performance chorégraphique - intervenante : Marie Grandou |
Le corps, notre identité extérieure.
Ce qui est visible, ce que l’on donne à voir.
Le corps est une éponge qui absorbe tout ce qu’il (res-)sent .
Parce que nous avons tous une mémoire du corps,
Inscrite dans nos chairs.
Se succèdent des états corporels et émotionnels, des présences qui questionnent comment est sculpté le corps ?
Entre danse et théâtre, un voyage autour de la présence.
Mardi 20, Mercredi 21 et Jeudi 22 janvier 2009
dans la journée - lieu à déterminer
Partenariat : OARA et Agence Culturelle Départementale Dordogne-Périgord
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LIRE ET DIRE.
Autour du Théâtre - intervenante: Émilie Esquerré |
Des textes abandonnés pour des raisons diverses, des textes déjà dits sous d’autres lumières devant d’autres yeux, lus.
Ce que la vie dit à moi et que j’ai envie de dire à vous : comment je perçois les autres, ce que me raconte un regard, comment je vis la création au quotidien, le quotidien en création…
Et enfin partager dans la discussion nos regards. Est-ce que vous voyez les choses comme moi ? Dites-moi.
Extraits :
« Ils sont ainsi les amoureux du bus 23, tout frais et déjà loin l’un de l’autre. »
« …à quoi sert le théâtre ? Puis-je être utile en faisant du théâtre ? Comment faire venir un autre public au théâtre ?Jusqu’où peut-on aller dans notre appel au public ? »
« J’ai l’impression que je le sens plus quand il me regarde.
Peut-être qu’il sent des yeux.
Il transpire des yeux et surtout sa transpiration sent fort Il a les larmes odorantes, s’il sent si fort, c’est qu’il a beaucoup pleuré. »
Mardi 20, Mercredi 21 et Jeudi 22 janvier 2009
dans la journée - Le Paradis (galerie verbale) Périgueux
Partenariat : OARA et Agence Culturelle Départementale Dordogne-Périgord
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Molière au carré |
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Théâtre - Une création du Théâtre grandeur nature
Textes Le Médecin volant et Le Mariage forcé de Molière
Scénographie et mise en scène : Jean-Marie Champion
avec Isabelle Gazonnois, Laurent Labadie,
Vladia Laulan et Gilles Ruard
Régie lumière : Nicolas Dubois - Régie son : Lionel Haug Musique : time_code
Coproductions : l’Odyssée, scène conventionnée de Périgueux
et le Centre culturel de Sarlat
en partenariat avec l’ACDDP (24) et l’ODAC (47)
Jeudi 22 et Vendredi 23 Janvier 2009
dans la journée Agora / Boulazac
Initiative : les Didascalies
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Les acteurs évoluent dans un espace scénique de 5m x 5m. Le public est placé tout autour sur les quatre cotés. L’ensemble du dispositif suggère tout à la fois un jardin, une cour, une place, un square mais aussi une cage et un ring. Il favorise ainsi par la concentration et la proximité physique une intimité avec l’action et une réelle familiarité avec le propos. On voit tout, on entend tout : le huis-clos sera implacable. Les deux textes s’appuient sur la tradition de la farce et l’ensemble de ses ressorts. La satire est aiguë, la critique féroce. La peinture de la société que Molière exécute laisse à l’acteur un espace de jeu extraordinaire pour mettre en correspondance un jeu d’ombre et de lumière, un jeu de dits et de non-dits qui tout à la fois exalte et inquiète, réjouit et démasque…
Le Sganarelle printanier du Médecin volant, trapéziste virtuose des farces est le moteur même du mouvement (« volant »), y compris dans la menace incessante d’être démasqué. Le Sganarelle sombrement automnal du Mariage forcé est, lui, plongé dans un monde d’illusions perdues, d’apparences volatiles et fugaces toutes plus vides les unes que les autres. Dans notre espace scénique, les fourvoiements des deux Sganarelle au physique pour le Médecin volant, au mental pour le Mariage forcé font immanquablement penser à la danse tragi-comique des mouches contre une vitre. Dans la fausse transparence du dispositif scénique, sans aucune mise à distance, au plus près du regard et de l’oreille, de l’autre, des autres, du spectateur, du public, du monde, le piège du théâtre se referme sur nos deux Sganarelle…
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Mad about the boy |
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Théâtre musical - Compagnie les enfants du paradis
d'après le texte d'Emmanuel Adely
Musique - Guitare Olivier Bobinec
Mise en scène - adaptation Christian Rousseau
Electro - Maxime Soulet
Direction artistique - Valérie Capdepont
Création lumière - Erci Buna
Jeudi 22 et Vendredi 23 Janvier 2009
dans la journée – Le Palace - Périgueux
Initiative : Agence Culturelle Départementale Dordogne Périgord
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Ce spectacle est écrit comme une partition.
La musique crée un paysage sonore et la parole prend son flux, son souffle, se suspend, et parfois les mots glissent, cognent ou se déposent. Alors on reste tout ouïe à ce « Je veux dire ».
L’écriture d’Emmanuel Adely avance par répétitions et variations et l’émotion naît de cette métamorphose. De ces voix en mutation constante surgit de l’humain, laissant entrevoir, peut-être une femme, peut-être un homme, peut-être jeune, vieux, vieille, hier, et aujourd’hui... Tout le monde peut s’y reconnaître, a déjà vécu ça, la rencontre, l’abandon... “Vous ne pouvez pas ne pas comprendre...”
Pour le public en apnée, le temps s’est suspendu sur ce fil fragile et charnel où la parole devient musique et le chant mots d’amour... A peine commencé, déjà fini...
Mad about the boy est un élan amoureux, c’est une chanson et un élan amoureux, un élan vers l’autre qu’on ne voit pas, vers l’autre qui échappe ou qui est parti. C’est comme une chanson, comme dans la chanson de Dinah Washington, Mad about the boy, on répète des phrases, des couplets, on crée l’élan en répétant l’absence et c’est une chanson d’amour. (Quatrième de couverture du livre Mad about the boy - 2003, Losfeld)
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Si Je t’M |
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Danse Hip Hop - Compagnie Black Blanc Beur
Auteur/metteur en scène/chorégraphe/montage musical : Christine COUDUN
Interprètes :
Franz CADICHE ou Jackson NTCHAM, Adilson HORTA DE SOUSA,
François KALEKA, Laurent KONG A SIOU, Magali LEFAY, Valentine NAGATA
ou Emilie SCHRAM, Jennifer SUIRE ou Manuela BOLEGUE, Lowriz VO TRUNG NGON
Mercredi 21 Janvier 2009 - 20H30 – Le Théâtre - Périgueux
Initiative : Odyssée, scène conventionnée de Périgueux
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« La compagnie pionnière du hip hop repousse toujours les limites d’un style porté à la démonstration physique et à la virtuosité. Un vrai défi, tant psychologique que chorégraphique. » Télérama, Juin 2007
Black Blanc Beur, plus connue aujourd’hui sous le nom de B3, est la plus ancienne compagnie de danse hip-hop française. Sa chorégraphe, Christine Coudun, est en effet la première à avoir introduit cette danse urbaine sur une scène de théâtre. Depuis 1984, chacun de ses spectacles affirme ainsi la nécessité d’un message de mixité sociale et culturelle.
Le défi romantique sous les tropiques ou comment, en déplaçant le drame universel de l’amour, dans un cadre privé de nos repères habituels, apparaissent les « mobiles » de nos vies ensemble. °°° Tchaïkovski, Winton Marsalis, Kronos Quartet, Erika Badu, Saint-Saens, Art Zoyd, Chopin, Meredith Monk… le montage musical réalisé par Christine Coudun s’appuie sur la confrontation des genres ; et au travers de ce voyage c’est une poursuite de la vie en break.°°° La ronde des énergies, le tourbillon de la volupté, le bal perdu hors du temps et de tous les temps. « Si Je t’M » interroge les relations entre Hommes et Femmes. La pratique de la breakdance comporte peu de contacts fille-garçon. C’est pourtant cette danse que Christine Coudun utilise pour chorégraphier cette relation sur la scène. Poursuivre la quête de sens et d’émotions au-delà des stéréotypes portés par cette danse, voilà le moteur de la démarche de création.
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Gong Gong (Nantes) & Grs Club (Bordeaux) |
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Gong Gong, duo onirique, navigue en électron libre entre les figurations lyriques des musiques acoustiques, un post-rock débridé et les sphères euphoriques des musiques électro. Sur des rythmiques élaborées, entre sonorités acoustiques et électroniques, ces deux activistes de l'inédit composent une musique subtile et ludique, aux découpages abstraits. Dans un brassage énergique, Gong Gong se libère de ses influences et puise dans l'imaginaire des musiques samplées, où interviennent à loisir les instrumentations basse-contrebasse et les batteries acoustiques ou électroniques. Sur scène, deux vidéastes plongent le duo dans un espace insolite, à visage humain : Laurent Rouvray et Pierre Le Gall bouleversent nos sens de la perception via un dispositif scénique en constante mutation. Dès lors, Gong Gong se fond dans l'electro et l'ambiant pour créer un univers singulier et vivant, où l'expérimentation côtoie le jeu, sensible, des instruments et des machines.
Thomas Baudriller : Programmation, machines, basse, contrebasse
Jean-Christophe Baudouin : Programmation, sampler, batterie
Quand ils ne sont pas enfermés dans leur laboratoire clandestin bordelais à concocter le son electro-rock de leur génération, les GRS Club passent leurs nuits à danser sur du post-punk : dans ce GRS Club, la batterie explosive entraîne la basse et le clavier dans une transe exotique irrésistible, guidée par les guitares acérées d'un chanteur habité. Hot Chip, LCD Soundsystem et Friendly Fires ne savent pas encore qu'ils ont des cousins français dont la touche afro-beat ne devrait pas laisser les auditeurs de marbre.
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Les partenaires |
Les Didascalies sont soutenues par :
le Conseil Régional d’Aquitaine, la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC Aquitaine), le Rectorat de l’Académie de Bordeaux, le Conseil Général de la Dordogne et la Ville de Périgueux.
Les Didascalies sont réalisées avec le concours :
l’Association Culturelle Départementale Dordogne-Périgord, de l’Agora, scène conventionnée de Boulazac, de l’Odyssée, scène conventionnée de Périgueux, du Sans Réserve, salle de musiques amplifiées, de l’Association Périgourdine pour le Développement de Zam (Burkina-Faso) de l’Inspection Académique de la Dordogne, de l’OARA, du CDDP, de Radio 103, de Lachal Opticiens et du Théâtre grandeur nature.
Les Didascalies remercient tout particulièrement :
Clara-Hélène ALTBACH ; Francis ARDOUIN ; Annie AUDRAIN ( Lycée Saint Joseph / Périgueux) ; Catherine Barbou ; Fabien Bassot ; Nathalie BERNARD et Sylvie TRIVIER ( Lycée J. Capelle / Bergerac) ; les artistes de la Companie Black Blanc Beur ; Christophe BORIE ; Barbara Boschi ; Jean-Pierre BRIGNON, Caroline POMMIER et Nicolas BATTEAU ( Lycée Saint Exupéry / Terrasson) ; Catherine BRUNET, Monique RENOULT et Hugues RENOULT ( Lycée O. Redon / Pauillac) ; Tatiana BYKOVA ( Ecole Gymnase 3 / Samara – Russie ) ; Marie-Line CAU et Frédéric DACQUAY ( Lycée Laetitia Bonaparte/Ajaccio) ; Fabrice DEGUILHEM ; Isabelle ROSSIGNOL et Laurent EYLLIER ( Lycée J. de Beaufort / Périgueux) ; Grégoire Cauchois ; Liliane De Girardi et Olivier RANDE ( Lycée Ph. de Gerde / Pessac) ; Gong Gong ; Nicolas Dubois ; Bérangère DUFLO ; Christelle DupouY- Canin ( Lycée A. Lomet / Agen) ; Emilie ESQUERRE ; Maëva FERIN et Carole SANNER ( Erea Marie-Claude Leriche / Villeneuve sur Lot) ; Isabelle GAZONNOIS ; Nathalie GENESTE et Nathalie PILLON ( Lycée Paul Rey / Nay) ; Grs Club ; Sidi GRAOUI ; Marie GRANDOU ; Nathalie HARDMAN ; Huggy HAUG ; Mandarine HUGON ; Marie JOURDAIN ( Lycée G. de Borneil / Excideuil) ; Athanase KABRE ; Jacqueline KINI ; Jean- Christophe LABROUSSE, Odile REBEL, ( Lycée B. de Born / Périgueux) ; Laurent LABADIE ; Marie LACLAU ( Lycée L. Gatet / Périgueux) ; Pascal LAGORCE, Hervé Lajoinie et Radio Périgueux 103 ; Vladia LAULAN ; Nicolas LUX ; Isabelle Machado ; Renaud Marchal ; Philippe Mathiaut ; Corinne Pougnet et le Parc de la Forêt; Fabienne PRONO GUINET, Karine RIVALLAND et Patrick ROLDEZ ( Lycée L. de Vinci / Périgueux) ; Etienne RALLION ; Jonathan RICHARD ; Isabelle ROSSIGNOL et Laurent EYLLIER ( Lycée J. de Beaufort / Périgueux) ; Frédéric Roumagne ; Christian ROUSSEAU et la Compagnie des Enfants du Paradis ; Joël Roux ; Gilles Ruard ; Sandrine SALLES et Sylvie SIMMONET ( Lycée A. Daniel / Ribérac), Jacques Segarra et l’équipe du CROUS ; Elisabeth SANTOS-DUSSERT ; Roser SEGURA et Dominique TOUTLEMONDE ( Lycée Marcelin-Berthelot / Châtellerault) ; Sylvie ZUDAIRE ( Lycée G. Sand / Nérac) ; le service de l’intendance et l’équipe des cuisines du lycée Laure Gatet de Périgueux ; les cars LACHAUD, MAGNE, le CFTA et les PERIBUS de la Communauté d’Agglomération Périgourdine.
L’association Les Didascalies est régie par la loi de 1901 :
Présidente : Sylvie Trivier
Trésorier : Fabrice Deguilhem
Secrétaire : Jean-Christophe Labrousse
Délégation artistique et organisation : Jean-Marie Champion
Coordination : Virginie Labrousse et Nathalie Hardman
Régie générale : Philippe Mathiaut et Nicolas Dubois
photographe : Nicolas Lux
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Les Didascalies, Festival de Théâtre lycéen
8 place Faidherbe 24000 PERIGUEUX
Tel : 05 53 35 20 93 - Fax : 05 53 06 04 29
E-mail : Theatre-etc@wanadoo.fr |
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